Maintenant l'homme foullait un sol ostère,meme l'herbe gelée n'existait plus,les champs etait vaste et lisse,aucun vestige d'arbre,pas une cloture,juste une terre ocre et labourrer rougit par le sang qui a couler....
Un bruit de fine pluie resonnait,les pas se faisait plus doucement,mois surement,comme si l'homme s'attendait a une embuscade derriere un buisson qui pourtant n'existait pas....quelques murmure se fit entendre par le seul vent qui etait present.
Mon dieu.....mon dieu......se fut ici.......
Une etincelle parcourut son visage,c'etait le reflet d'une clarté etrange dans les larmes qui le parcourait,puit tombait a terre méller a la pluie.
Il arrivait au bord d'une tranché,ou plutot au bord du trou creuser a la vas vite.
On sentait la tension et les sentiments tels qu'angoisse,peur et tristesse méller et confut dans son esprit.Puit s'immobilisant,l'homme a la tunique noircit par le temps tourna sur lui meme,encore et encore comme pour essayer de voir en meme temps toute l'entendu de ces terres qui n'etait en réalité qu'un champ de bataille.
Et c'est au beau milieu de cette étendu qu'il posa sa besase,sa tunique et laissant aparetre une armure orner d'argent meler de bronze où un blason inconnu etait représenter;son pantalon arborait les meme couleur,c'etait bel et bien une tenu d'apparat.Puit l'homme reprit sa marche,on voyait bien qu'il savait maintenant où il allait!
Au bout d'un moment il arriva devant un medaillon,seul vestige de tout ces hommes et femmes qui etait venu s'entretuer dans ces plaines.
Il posa un genou a terre,une main,et de l'autre ramassa ce medaillon salit par la pluie eclabousante lorsque les gouttes frappait la terre.
Il resta de longues minutes ainsi a pleurer sur ce bout de cuivre....